Departamento de Francés del IEL
Como cada año, al abordar el
proyecto de lengua y cultura españolas desde el departamento de francés, la
primera pregunta que surgió fue: cómo relacionar un proyecto que se define como
hispano –hispano luso este curso- con la lengua y la cultura francófonas. Y,
como cada curso, saliéndonos más o menos por la tangente, encontramos una zona
de intersección entre el proyecto institucional y nuestra tarea docente.
A partir del Tajo empezamos a
trabajar el concepto de río: el río como recuerdo de infancia (aquel río en el
que nos bañábamos en verano, en el que pasábamos las horas de siesta de los
adultos), el río como imagen literaria (todo locus amoenus que se precie
incluye un arroyo de aguas cristalinas en el que se refleja la imagen del
amado, o la de uno mismo), el río asociado a una ciudad, el río como imagen de
la vida con sus diferentes etapas, el río como reflejo de problemas actuales
(contaminación, suciedad), el río como cauce navegable que permite la
comunicación entre los pueblos…
Acto seguido fuimos a buscar
inspiración en dos poetas y leímos Chanson de la Seine de Jacques
Prévert y La rivière aux trois ponts de Alphonse Beauregard. También nos
acercamos, realmente solo lo rozamos, al Bateau ivre de Arthur Rimbaud.
Y finalmente los alumnos se pusieron
manos a la obra. La petición fue un texto poético, siguiendo el ejemplo de los
leídos pero el resultado fue un abanico de textos muy diferentes, como podrá
apreciar el lector de este blog. Hay poemas evocadores, los hay
reivindicativos, irónicos, cómicos…Pero también hay leyendas oídas a nuestros
abuelos y recordadas aquí – con detalles diferentes en cada versión-, diálogos
entre el río, el puente y el Cristo ¡es imposible olvidar que vivimos en
Lisboa!-, reflexiones sobre el significado del río, aquí y en África…
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LE TAGE
À mesure que je traverse le pont rouge
Je regarde comme le Tage coule.
Parfois si bleu, d’autre fois si gris
Sur le pont rouge je regarde, il n’a pas de souci.
Il cache l’histoire de deux rives
Tous les secrets des gens qui partent
Et tous les secrets des gens qui arrivent.
Sous la lumière de la lune, la mer l’attend
Le Tage coule avec sa blanche écume
Il continue son chemin.
Je regarde comme le Tage coule.
Parfois si bleu, d’autre fois si gris
Sur le pont rouge je regarde, il n’a pas de souci.
Il cache l’histoire de deux rives
Tous les secrets des gens qui partent
Et tous les secrets des gens qui arrivent.
Sous la lumière de la lune, la mer l’attend
Le Tage coule avec sa blanche écume
Il continue son chemin.
Mariana Jáudenes, 1ºBB
Qu´est-ce qu’un fleuve?
Le fleuve est une route.
La route de milliers d´êtres.
La route que l´eau suit
Vers la cascade.
Le fleuve est une maison,
la maison de milliers
de poissons.
La maison de cailloux
qui restent en les méandres.
Le fleuve est la vie.
C´est la vie d´un pêcheur
qui reste dans la rivière.
Mais le fleuve est aussi la mort.
La mort d´une carpe
malheureuse.
Et le fleuve reste dans son lit.
Calme. Il ne pense pas à tout ce qu´il garde,
À tout ce qu´il libère.
Le fleuve est une route.
La route de milliers d´êtres.
La route que l´eau suit
Vers la cascade.
Le fleuve est une maison,
la maison de milliers
de poissons.
La maison de cailloux
qui restent en les méandres.
Le fleuve est la vie.
C´est la vie d´un pêcheur
qui reste dans la rivière.
Mais le fleuve est aussi la mort.
La mort d´une carpe
malheureuse.
Et le fleuve reste dans son lit.
Calme. Il ne pense pas à tout ce qu´il garde,
À tout ce qu´il libère.
Guzmán González
Gómez 1ºBA
BLEU
Nous
commencerons cette chanson,
la mélodie
découle comme le fleuve
les notes
sautent comme les poissons
j’aime ma
chanson,
mon
inspiration tombe comme la source,
les vers
sont couverts de couleur
il aime ma chanson,
elle est en train de finir, de faire ses adieux
comme le
bateau fait avant d’embarquer,
les strophes passent par le pont,
après être passées par le ponton
je suis arrivé a la mer, je vois la plage,
elle est en train de finir
le fleuve est la mélodie.
Verónica FernándezPereira 1ºBB
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